Mam'zelle Nitouche
Théâtre des Bouffes Parisiens, 1984
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Mise en scène, décors : Théo Jehanne
Mise en scène chorégraphique : Jean Guélis Musique : Hervé Livret : Henri Meilhac et Albert Millaud |
SYNOPSIS
"LE COUVENT, séjour charmant" chantent les pensionnaires du Convent des Hirondelles de Pontarcy. Charmant, car elles y reçoivent les bonnes leçons de chant de l'apparemment austère organiste, Monsieur Célestin. Mais "Célestin, c'est Floridor et Floridor, c'est Célestin". Le professeur de musique religieuse est en fait un Dr Jekill et Mr Hyde, version "bouffe". Le soir, il fait le mur, rejoint le théâtre municipal où l'on répète sa première opérette plutôt légère, y retrouve la vedette, la volcanique diva Corinne dont il partage les faveurs avec un bouillonnant Major de cavalerie.
Pourtant, "Ce n'est pas une sinécure que l'existence des couvents", on y fait des macarons, de la layette et des dentelles. Aussi, pour se distraire, l'élève Denis de Flavigny, ingénue de bonne famille, subtilise les partitions de l'opérette de son professeur, les apprend même et découvre ainsi sa double vie. Il acceptera, au cours d'une leçon particulière, de chanter avec elle les "Couplets du soldat de plomb".
Tout se précipite. Denise est fiancée par sa famille à Fernand, un fougueux lieutenant. Les présentations - lui, incognito! - se font au couvent par paravent et "Alleluia" interposés - règles claustrales obligent. Qu'importe ! puisque Fernand "se marie les yeux fermés". Et pour chaperonner la pensionnaire renvoyée pour cause d'accordailles, on choisit Célestin... le soir-même de la première de son opérette.
Denise, si édifiante au couvent, saura se délurer en "Nitouche" accomplie. Elle s'échappe de l'hôtel où l'avait cantonnée l'organiste. La voici au théâtre - "La voiture attendait en bas" - où elle déchaîne la colère tumultueuse de Corinne qui voit en elle une rivale auprès de Floridor. Colère contre colère, il y a aussi celle du Major qui a "pincé" la diva et le compositeur.
Le tourbillon de l'intrigue s'accélère à coups de poursuites et de quiproquos, entraînant Célestin, le Major, Fernand et les autres. Denise-Nitouche brûle les planches en chantant le "Babet et Cadet, larirette, lariré" de Floridor, séduit son lieutenant qui la prend pour une autre et, après une poursuite débridée sur la scène du théâtre municipal, passe la nuit à la caserne.
Mlle de Flavigny chez les dragons ! - et nous y croisons un brigadier pochard et stéphanois : "Je suis de Saint-Etienne, Loire" - au grand effroi de son mentor car "Un quartier de cavalerie est un séjour hors de saison pour une femme pure encore". "Floridor, vous avez raison"..., mais Denise ne s'y trouve pas si mal et, déguisée en "1re classe", reprend avec les officiers des airs grivois, dont la "Légende de la grosse caisse".
Comment tout cet imbroglio va-t-il se dénouer ? Au spectateur, la joie de le découvrir. Denise, en invoquant "Saint-Nitouche, ô ma patronne", saura enjôler tout son monde, son amoureux compris. Et puisque les belles opérettes, tout comme les contes de fées, s'achèvent par un mariage, voire par des mariages, ils seront heureux et auront beaucoup d'enfants qu'ils "voueront au bleu".
DISTRIBUTION
Jean-Marie Proslier (Célestin alias Floridor)
Fabienne Guyon (Denise de Flavigny alias Mam'zelle Nitouche)
Michèle Marcey (La Mère Supérieure, l'habilleuse)
Catherine Hirt (La Soeur Tourière)
Nicky Nancel (Corinne)
Les Pensionnaires / Les Actrices :
Brigitte Berger
Agnès Blanchot
Florence Dumortier
Catherine Hauüy
Caroline Padovan
Élisabeth Saliou
Gilles Biot (Loriot, brigadier, Le régisseur)
Jean-Paul Bordes (Le lieutenant Fernand de Champlâtreux)
Till Fechner (Le machiniste, danseur, Gustave, lieutenant)
Théo Jehanne (L'Adjudant, le Directeur du théâtre)
Tony Mallet (Le Major)
Gilles Vajou (Gilles, lieutenant, Edouard, Le Pompier)
Bernard Vergniaud (Le machiniste, danseur, Robert, lieutenant)
Direction musicale : Alice Ridel
Arrangements musicaux : Maurice Blanchot
VIDEOS
"LE COUVENT, séjour charmant" chantent les pensionnaires du Convent des Hirondelles de Pontarcy. Charmant, car elles y reçoivent les bonnes leçons de chant de l'apparemment austère organiste, Monsieur Célestin. Mais "Célestin, c'est Floridor et Floridor, c'est Célestin". Le professeur de musique religieuse est en fait un Dr Jekill et Mr Hyde, version "bouffe". Le soir, il fait le mur, rejoint le théâtre municipal où l'on répète sa première opérette plutôt légère, y retrouve la vedette, la volcanique diva Corinne dont il partage les faveurs avec un bouillonnant Major de cavalerie.
Pourtant, "Ce n'est pas une sinécure que l'existence des couvents", on y fait des macarons, de la layette et des dentelles. Aussi, pour se distraire, l'élève Denis de Flavigny, ingénue de bonne famille, subtilise les partitions de l'opérette de son professeur, les apprend même et découvre ainsi sa double vie. Il acceptera, au cours d'une leçon particulière, de chanter avec elle les "Couplets du soldat de plomb".
Tout se précipite. Denise est fiancée par sa famille à Fernand, un fougueux lieutenant. Les présentations - lui, incognito! - se font au couvent par paravent et "Alleluia" interposés - règles claustrales obligent. Qu'importe ! puisque Fernand "se marie les yeux fermés". Et pour chaperonner la pensionnaire renvoyée pour cause d'accordailles, on choisit Célestin... le soir-même de la première de son opérette.
Denise, si édifiante au couvent, saura se délurer en "Nitouche" accomplie. Elle s'échappe de l'hôtel où l'avait cantonnée l'organiste. La voici au théâtre - "La voiture attendait en bas" - où elle déchaîne la colère tumultueuse de Corinne qui voit en elle une rivale auprès de Floridor. Colère contre colère, il y a aussi celle du Major qui a "pincé" la diva et le compositeur.
Le tourbillon de l'intrigue s'accélère à coups de poursuites et de quiproquos, entraînant Célestin, le Major, Fernand et les autres. Denise-Nitouche brûle les planches en chantant le "Babet et Cadet, larirette, lariré" de Floridor, séduit son lieutenant qui la prend pour une autre et, après une poursuite débridée sur la scène du théâtre municipal, passe la nuit à la caserne.
Mlle de Flavigny chez les dragons ! - et nous y croisons un brigadier pochard et stéphanois : "Je suis de Saint-Etienne, Loire" - au grand effroi de son mentor car "Un quartier de cavalerie est un séjour hors de saison pour une femme pure encore". "Floridor, vous avez raison"..., mais Denise ne s'y trouve pas si mal et, déguisée en "1re classe", reprend avec les officiers des airs grivois, dont la "Légende de la grosse caisse".
Comment tout cet imbroglio va-t-il se dénouer ? Au spectateur, la joie de le découvrir. Denise, en invoquant "Saint-Nitouche, ô ma patronne", saura enjôler tout son monde, son amoureux compris. Et puisque les belles opérettes, tout comme les contes de fées, s'achèvent par un mariage, voire par des mariages, ils seront heureux et auront beaucoup d'enfants qu'ils "voueront au bleu".
DISTRIBUTION
Jean-Marie Proslier (Célestin alias Floridor)
Fabienne Guyon (Denise de Flavigny alias Mam'zelle Nitouche)
Michèle Marcey (La Mère Supérieure, l'habilleuse)
Catherine Hirt (La Soeur Tourière)
Nicky Nancel (Corinne)
Les Pensionnaires / Les Actrices :
Brigitte Berger
Agnès Blanchot
Florence Dumortier
Catherine Hauüy
Caroline Padovan
Élisabeth Saliou
Gilles Biot (Loriot, brigadier, Le régisseur)
Jean-Paul Bordes (Le lieutenant Fernand de Champlâtreux)
Till Fechner (Le machiniste, danseur, Gustave, lieutenant)
Théo Jehanne (L'Adjudant, le Directeur du théâtre)
Tony Mallet (Le Major)
Gilles Vajou (Gilles, lieutenant, Edouard, Le Pompier)
Bernard Vergniaud (Le machiniste, danseur, Robert, lieutenant)
Direction musicale : Alice Ridel
Arrangements musicaux : Maurice Blanchot
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